Eragon a une double promesse à tenir : aider Roran à délivrer sa fiancée, Katrina – prisonnière des Ra’zacs –, et venger la mort de son oncle Garrow. Saphira emmène les deux cousins jusqu’à Helgrind, les Portes de la Mort, repaire des monstres. Or, depuis que Murtagh lui a repris Zar’oc, l’épée que Brom lui avait donnée, Eragon n’est plus armé que du bâton du vieux conteur.
Tandis qu’il veille au pied de la sinistre citadelle, Eragon s’interroge : viendra-t-il à bout des Ra’zacs ? Il est vrai que, depuis la cérémonie du Sang, à Ellesméra – la cité elfique –, le jeune Dragonnier continue de se transformer, acquérant peu à peu les traits et les fabuleuses capacités d’un elfe.
Et Roran mérite plus que jamais son surnom de Puissant Marteau. Quant à Saphira, elle est une combattante redoutable… Ainsi commence cette troisième partie de l’Héritage, où l’on verra l’intrépide et altière Nasuada, chef des Vardens, subir avec bravoure l’épreuve des Longs Couteaux ; les Vardens affronter les soldats démoniaques de Galbatorix, qui ne ressentent pas la douleur ; Arya et Eragon rivaliser de délicates inventions magiques ; Murtagh chevauchant Thorn, son dragon rouge, batailler dans le ciel contre Eragon et Saphira.
On s’enfoncera avec angoisse dans les obscures galeries souterraines des nains ; on se laissera séduire par Nar Garzhvog, le formidable Urgal, et par l’énigmatique Lupusänghren, l’elfe au pelage de loup ; on retrouvera avec bonheur Oromis et Glaedr, le dragon d’or ; on constatera avec jubilation que Saphira montre toujours un goût certain pour l’hydromel… Et on comprendra enfin pourquoi le roman porte ce titre énigmatique : Brisingr, Feu en ancien langage…
Mon avis :
Ce troisième tome est une véritable épopée pleine de rebondissements. Eragon et Saphira poursuivent leur lutte pour la justice, et l’intrigue devient de plus en plus captivante au fil des pages.
J’ai particulièrement aimé découvrir l’évolution intérieure d’Eragon et les défis qu’il doit relever pour assumer son rôle.
Quant à l’histoire, elle reste pleine de surprises : le suspense m’a tenu en haleine, et j’ai aimé découvrir comment les pièces du puzzle se mettent en place petit à petit.
La nouvelle épée d’Eragon est un élément marquant de ce tome, et son symbolisme m’a beaucoup plu.
Ce tome est aussi addictif que les précédents, et il me tarde de voir si Eragon parviendra à affronter Galbatorix dans le dernier volume.
C’est une lecture riche en émotions qui confirme toute la puissance de cette saga.
J’ai commencé à lire la saga jeudi dernier et je viens d’acheter le volume 3. Je crois que je suis accro. C’est grave, docteur ? 😉
PS: après ça, je me replonge dans l’Épée de Vérité !
Ah oui toi aussi tes accrocs^^ moi j’adore, g lue 150 pages hier soir du 4eme, j’ai eue beaucoup de mal a m’arrêter de lire.