Le 15 septembre 2010, Arthur Dreyfuss, en marcel et caleçon Schtroumpfs, regarde un épisode des Soprano quand on frappe à sa porte.
Face à lui : Scarlett Johansson.
Il a vingt ans, il est garagiste.
Elle en a vingt-six, et elle a quelque chose de cassé.
Mon avis :
L’auteur a choisi des moments cruelle que j’ai eu du mal a digéré : sa sœur qui se fait dévorer par un chien, sa mère qui en devient folle, son père qui disparaît, la mère de Jeannine qui est dégoûtée de sa fille, l’accident de Jeannine, etc.
Spécial ce roman, ok y a une histoire d’amour super courte, mais tout ce qu’il y a autour ne m’a pas convaincue. Je trouvais même cette histoire d’amour naissante très bizarre, et puis la fin BOF.
J’ai aussi été obligé de chercher qui était Scarlett Johansson, car j’avoue, je ne la connaissais pas.
Ryan Gosling en mieux ça, je vois qui s’est avec le film crazy stupid love, mais Scarlett, je suis bien incapable de dire dans quels films elle a jouer.
J’ai eu beaucoup de mal à finir se livre et j’ai failli l’abandonner tant y a de longueur de passages chiant et de références culturelles que je n’aie pas.
Pas enchanté de ma lecture, je retenterai du Grégoire Delacourt tout de même, mais pour ce livre-ci s’est raté.
[…] La première chose qu’on regarde / Grégoire Delacourt […]